« Comme tout le monde, j’ai commencé à dessiner quand j’étais tout petit. Mais contrairement à d’autres, je n’ai pas arrêté ». Voila comment TROUD relate ses débuts.
Un peu plus tard, dans les années 90 il commence à collaborer à de nombreux fanzines et publications indépendantes, le fanzinat était florissant au Mans à cette époque, il se fait donc la main puis c’est la publication dans des magazines de portée nationale ( Psikopat, Zélium, Fakir, Sans culotte..) et la presse régionale ( Ouest France, France 3).
» Un dessin doit d’abord raconter un fait, en donner un point de vue, libre à chacune le partager ou pas. La provocation pour la provocation n’a pas d’intérêt » sourit Troud. On retrouve donc ses « dessins d’humeur » sur le thème d’internet, de l’environnement, de la politique. »ils sont soit en réaction directe à l’actualité, soit à ça que les gens vivent »